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EP. 13_Marlborough, nos début sur l’île du sud

Jour 1 : Blenheim ou à la recherche de travail

Mission : trouver du travail (un gros fail)

Mission : trouver du travail (un gros fail)

Pollard Park et le petit potager

Pollard Park

Harling Park, un parc au thème Japonais

Harling Park, un parc au thème Japonais

Jour 2 : Blenheim, on ne lâchait rien

Blenheim centre ville et recherche de travail

Blenheim centre ville et recherche de travail

Wither hills, les pauvres qui ne le sont pas

Wither hills, les pauvres qui ne le sont pas
Wither hills, les pauvres qui ne le sont pas 4

Retour au Pollard Park

Jour 3 : Lake Grassmere – Kaikōra

Ce jour, était un peu dédié à la découverte de bébés otaries. Si nous voulions voir des blue penguins, c’était sans savoir que nous devions rester jusqu’au au coucher de soleil. La journée aura tout de même était bien remplie, même si nous avions eu la sensation de bâcler notre fin de journée pour tenter d’arriver avant le coucher du soleil au freecamp, avec deux heures de route. Spoil : on aura pas réussi et on sera à regret arrivés à 22h, en se disant que nous aurions pu rester dans l’autre ville.

Lake Grassmere, le lac qui est censé être rose

Sur la côte de Blenheim, un grand lac peu profond possède des étangs qui développent une couleur rose de plus en plus foncée pendant les mois d’été. C’était notre première visite depuis la ville de Blenheim. Sa couleur est normalement due au sel. En effet, l’eau de mer, fraîchement sortie de l’océan Pacifique, est pompée dans le lac Grassmere. La couleur rose à violette des bassins de cristallisation est causée par des algues vertes microscopiques naturelles qui se transforment en rose à forte concentration en sel. Les mêmes phénomènes donnent son nom à la mer Rouge. Il y a aussi de petites crevettes roses dans l’eau qui prospèrent dans cet environnement salé. Alors tout l’aspect technique est très beau, sauf qu’il faisait super moche quand nous sommes allés le voir et que sans soleil, l’eau n’avait qu’une couleur d’eau à nos yeux.

Lake Grassmere, le lac qui est censé être rose

Papara point rest

Comme nous faisions beaucoup de route pour commencer à descendre tranquillement dans le sud, et qu’il n’y a parfois rien à voir ou à faire, si ce n’est tracer ; nous avons voulu faire un arrêt spontané à Papara point rest en voyant une statue maori. De là, nous avions une jolie vue sur les montages et la mer. Le brouillard apportait un petit quelque chose au paysage.

Papara point rest

Ohau Point Lookout

C’est un petit bord de route, une plate-forme même, qui permet d’avoir une vue en hauteur sur les colonies d’Otaries à fourrure. Pas de promenade à faire, il suffisait uniquement de sortir pour pouvoir les observer. Le mieux est d’apporter des jumelles. Nous avons passé un moment à regarder les bébé otaries câliner et embêter leur mère, tenter d’avancer sur les rochers, tomber, jouer dans l’eau, pleurer. Tout de suite, avec des enfants, c’est beaucoup moins reposant pour les parents qui habituellement se prélassent au soleil (pas de chance pour eux, il faisait moche). En général, les otaries ne sont donc pas très actives mais nous y sommes allés à la bonne période. L’été, c’est la période de la cour et il est censé y avoir beaucoup d’action avec les petits bouts.

Ohau Point Lookout 1
Ohau Point Lookout 2

Kaikōra, sa ville et sa péninsule

Après un rapide tour de ville pas réellement prévu au final et un ou deux de ses magasins magasins, nous avons décidé de nous poser pour déjeuner en bord de bay (il était temps, puisqu’il était 15h). C’est devant de jolies montagnes et l’eau de mer que nous avons pu déguster notre petit repas.

S’en est suivi une promenade à South Bay : à la rencontre de bébés vaches, de bébés et leurs maman. Nous avons pu les observer de tout près (un peu trop près d’ailleurs) à jouer, se reposer, tenter d’avancer encore une fois sur les rochers, tomber, pleurer encore et toujours. Ils étaient bruyants et beaucoup trop chou.

Kaikōra, sa ville et sa péninsule

Côté Kaikōura Peninsula, l’accès à la pointe ; Point Kean Viewpoint, peut se faire directement en voiture. Il suffit de marcher 2 minutes sur les cailloux pour avoir une vue sur la mer. Début (ou fin de la marche de la péninsule), il est probable d’y apercevoir des otaries, des dauphins ou encore des baleines (on aura rien vu de tout ça). Pour favoriser les chances, il est possible de payer une virée en bateau, mais nous avons personnellement préféré penser à la planète et l’écosystème. Le site est beaucoup plus touristique que notre précédent point. On voit beaucoup moins d’animaux, en tout cas, quand nous y sommes allés mais la vue sur les montagnes est plutôt jolie.

Kaikōra, sa ville et sa péninsule 4

Nous étions juste dégoutés car demie-heure après notre départ, nous avons appris que pour voir les blue penguins, il fallait attendre le coucher du soleil. Nous aurons du rouler 2 heures pour rejoindre le prochain freecamp et avancer. Nous aurions peut-être pu éviter de nous presser, nous reposer un peu à Kaikoura au lieu d’arriver en pleine nuit et un peu frustrés s’imaginant que nous aurions pu les apercevoir avec un joli coucher de soleil en option… Peut-être pour une prochaine fois !